Québec Décapé

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Dans le cadre de commandes d'œuvres , les artistes Patrick Altman, Robert Baronet, Jean-François Caissy, Johanne Fournier, Isabelle Hayeur, Yoanis Menge et Sonia Robertson ont été mandatés pour livrer leur vision du Québec actuel.

Dans l’édition grand public, les tours d’horizon photographiques de la belle province ont généralement un vernis promotionnel ou une préoccupation patrimoniale qui participent à la mise en marché du produit Québec. Notre projet prenait en quelque sorte le contre-pied de ces représentations qui magnifient les attraits des grands espaces, des régions, de la capitale, de la métropole, des secteurs économiques, etc. Aussi, les problématiques de société, les parties ombragées ou les éléments peu flatteurs n'ont guère leur place lorsqu’il s’agit d’attirer le touriste ou l’investisseur. C’est pourquoi nous voulions des images qui, par leur nature et leur point de vue, contribuent à cadrer tel quel le Québec d’aujourd’hui par le biais d'une sensibilité artistique.

En mandatant des artistes chevronnés, nous nous inspirions, toutes proportions gardées, de projets similaires des trente dernières années, notamment par la DATAR, célèbre mission photographique réalisée en France durant les années 80.

idéateurs : Gilles Arteau, Robert Baronet, François Wells

coordination : François Wells

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CONDITIONS & FORMATS D'IMAGES

CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES DE PARTICIPATION

Vous êtes l’éditeur et l’administrateur de ce vous mettez sur ce site. Espace F se réserve un droit éditorial de supprimer les incongruités et les soumissions litigieuses (voir plus bas) et de corriger les fautes d’orthographes.

Nous vous invitons à travailler l’image fixe de type documentaire sous le mode de la série, un sujet se voyant souvent mieux cerné par une variété de points de vue et de moments. À l’inverse, une répétition non justifiée ou l’inclusion d’images moins pertinentes diminue l’impact du propos. Nous vous invitons également à décrire votre démarche et les idées poursuivies.

FORMATS D'IMAGES

Le format général de présentation pour les images fixes est de 1200 x 800 pixels. Les images soumises sont automatiquement mises à l’échelle (réduites ou agrandies) dans ces grandeurs et compressées en jpeg, tant qu'elles ne dépassent pas les dimensions maximales de 1200 x 1200 pixels. Pour un meilleur contrôle du résultat, il est préférable de mettre à l’échelle et de compresser en jpeg soi-même les images. Notez que vous avez à créer une série pour joindre des images.

L’hébergement et la compression des documents vidéo passent par Vimeo et YouTube, avec les contraintes de grandeur et de durée des deux plates-formes. Notez que Vimeo offre une meilleure qualité de compression.

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Droit éditorial / soumissions litigieuses

Les responsables du site se réservent un droit éditorial de supprimer les incongruités et les soumissions – textes, images – jugées litigieuses ou hors sujet et de corriger les fautes d’orthographes.

Considérations éthiques/juridiques

  • Le participant ne publie que des images dont il peut se réclamer l’auteur.
  • Le participant s’engage à respecter le droit à l’image d’autrui et à avoir les autorisations requises des personnes reconnaissables (droit de décharges )
  • En participant, vous vous engagez à indemniser(dommages et frais, honoraires d’avocats compris) et à dégager de toute responsabilité les responsables de ce site contre toute réclamation ou demande faite par une tierce partie liée à ou découlant du contenu que vous soumettez sur ce site.

La participation à Québec décapé implique le respect des modalités de participation.

520, av. Saint-Jérôme, bureau 102, Matane (Québec) G4W 3B5 tél. : 418 562-8661 – info@espacef.orgwww.espacef.org

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décaper : râcler la surface; enlever une couche qui masque

NOUS CONVIONS CEUX ET CELLES QUI S'EXPRIMENT PAR L'IMAGE PHOTOGRAPHIQUE FIXE OU ANIMÉE À PRÉSENTER SUR CE SITE LEUR VISION DU QUÉBEC D'AUJOURD'HUI.

Sonia RobertsonSonia Robertson

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Sonia Robertson

Que reste-il ?, Installation et projection audio/vidéo, Espace F, septembre 2013

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Que reste-il ?

En faisant abstraction du choix de son emplacement, la camera obscura propose une image objective. S'il y a suffisamment de regardeurs conscients d'interpréter cette image selon les mêmes termes, cette interprétation peut alors revêtir une valeur objective au sein de ce groupe. C'est à ce type de consensus que réagit Sonia Roberston, et plus spécifiquement aux idées que les matanais se font de leur territoire. Dans cette installation in situ, l'image de cette Matanie qu'elle propose en est une fragmentée et déformée qui n'est pas celle d'un guide touristique ou celle des familles «fondatrices». Le titre donné est explicite et appuyé, entre autres, par la projection d'un très long fondu enchaîné qui voit un boisé se fondre dans une usine de pâte et papier. Sortant de haut-parleurs placés au sol, les réponses candides que font des matanais aux questions de l'artiste Innue sur la présence autochtone en Matanie illustrent leur ignorance du sujet. Juste au-dessus des enceintes et passant par des petits trous qu'elle a fait dans une toile noire qui couvre les fenêtres de la galerie, la lumière vient créer sur un papier ciré à proximité des trous une séquence d'images inversées de la réalité extérieure environnante.

Sonia RobertsonSonia Robertson

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Sonia Robertson

Que reste-il ?, Installation et projection audio/vidéo, Espace F, septembre 2013

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Que reste-il ?

En faisant abstraction du choix de son emplacement, la camera obscura propose une image objective. S'il y a suffisamment de regardeurs conscients d'interpréter cette image selon les mêmes termes, cette interprétation peut alors revêtir une valeur objective au sein de ce groupe. C'est à ce type de consensus que réagit Sonia Roberston, et plus spécifiquement aux idées que les matanais se font de leur territoire. Dans cette installation in situ, l'image de cette Matanie qu'elle propose en est une fragmentée et déformée qui n'est pas celle d'un guide touristique ou celle des familles «fondatrices». Le titre donné est explicite et appuyé, entre autres, par la projection d'un très long fondu enchaîné qui voit un boisé se fondre dans une usine de pâte et papier. Sortant de haut-parleurs placés au sol, les réponses candides que font des matanais aux questions de l'artiste Innue sur la présence autochtone en Matanie illustrent leur ignorance du sujet. Juste au-dessus des enceintes et passant par des petits trous qu'elle a fait dans une toile noire qui couvre les fenêtres de la galerie, la lumière vient créer sur un papier ciré à proximité des trous une séquence d'images inversées de la réalité extérieure environnante.

SoniaRobertson_6.jpgSoniaRobertson_6.jpg

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Que reste-il ?

En faisant abstraction du choix de son emplacement, la camera obscura propose une image objective. S'il y a suffisamment de regardeurs conscients d'interpréter cette image selon les mêmes termes, cette interprétation peut alors revêtir une valeur objective au sein de ce groupe. C'est à ce type de consensus que réagit Sonia Roberston, et plus spécifiquement aux idées que les matanais se font de leur territoire. Dans cette installation in situ, l'image de cette Matanie qu'elle propose en est une fragmentée et déformée qui n'est pas celle d'un guide touristique ou celle des familles «fondatrices». Le titre donné est explicite et appuyé, entre autres, par la projection d'un très long fondu enchaîné qui voit un boisé se fondre dans une usine de pâte et papier. Sortant de haut-parleurs placés au sol, les réponses candides que font des matanais aux questions de l'artiste Innue sur la présence autochtone en Matanie illustrent leur ignorance du sujet. Juste au-dessus des enceintes et passant par des petits trous qu'elle a fait dans une toile noire qui couvre les fenêtres de la galerie, la lumière vient créer sur un papier ciré à proximité des trous une séquence d'images inversées de la réalité extérieure environnante.

SoniaRobertson_7.jpgSoniaRobertson_7.jpg

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En faisant abstraction du choix de son emplacement, la camera obscura propose une image objective. S'il y a suffisamment de regardeurs conscients d'interpréter cette image selon les mêmes termes, cette interprétation peut alors revêtir une valeur objective au sein de ce groupe. C'est à ce type de consensus que réagit Sonia Roberston, et plus spécifiquement aux idées que les matanais se font de leur territoire. Dans cette installation in situ, l'image de cette Matanie qu'elle propose en est une fragmentée et déformée qui n'est pas celle d'un guide touristique ou celle des familles «fondatrices». Le titre donné est explicite et appuyé, entre autres, par la projection d'un très long fondu enchaîné qui voit un boisé se fondre dans une usine de pâte et papier. Sortant de haut-parleurs placés au sol, les réponses candides que font des matanais aux questions de l'artiste Innue sur la présence autochtone en Matanie illustrent leur ignorance du sujet. Juste au-dessus des enceintes et passant par des petits trous qu'elle a fait dans une toile noire qui couvre les fenêtres de la galerie, la lumière vient créer sur un papier ciré à proximité des trous une séquence d'images inversées de la réalité extérieure environnante.

Sonia RobertsonSonia Robertson

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Sonia Robertson

Que reste-il ?, Installation et projection audio/vidéo, Espace F, septembre 2013

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En faisant abstraction du choix de son emplacement, la camera obscura propose une image objective. S'il y a suffisamment de regardeurs conscients d'interpréter cette image selon les mêmes termes, cette interprétation peut alors revêtir une valeur objective au sein de ce groupe. C'est à ce type de consensus que réagit Sonia Roberston, et plus spécifiquement aux idées que les matanais se font de leur territoire. Dans cette installation in situ, l'image de cette Matanie qu'elle propose en est une fragmentée et déformée qui n'est pas celle d'un guide touristique ou celle des familles «fondatrices». Le titre donné est explicite et appuyé, entre autres, par la projection d'un très long fondu enchaîné qui voit un boisé se fondre dans une usine de pâte et papier. Sortant de haut-parleurs placés au sol, les réponses candides que font des matanais aux questions de l'artiste Innue sur la présence autochtone en Matanie illustrent leur ignorance du sujet. Juste au-dessus des enceintes et passant par des petits trous qu'elle a fait dans une toile noire qui couvre les fenêtres de la galerie, la lumière vient créer sur un papier ciré à proximité des trous une séquence d'images inversées de la réalité extérieure environnante.

Sonia RobertsonSonia Robertson

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Sonia Robertson

Que reste-il ?, Installation et projection audio/vidéo, Espace F, septembre 2013

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En faisant abstraction du choix de son emplacement, la camera obscura propose une image objective. S'il y a suffisamment de regardeurs conscients d'interpréter cette image selon les mêmes termes, cette interprétation peut alors revêtir une valeur objective au sein de ce groupe. C'est à ce type de consensus que réagit Sonia Roberston, et plus spécifiquement aux idées que les matanais se font de leur territoire. Dans cette installation in situ, l'image de cette Matanie qu'elle propose en est une fragmentée et déformée qui n'est pas celle d'un guide touristique ou celle des familles «fondatrices». Le titre donné est explicite et appuyé, entre autres, par la projection d'un très long fondu enchaîné qui voit un boisé se fondre dans une usine de pâte et papier. Sortant de haut-parleurs placés au sol, les réponses candides que font des matanais aux questions de l'artiste Innue sur la présence autochtone en Matanie illustrent leur ignorance du sujet. Juste au-dessus des enceintes et passant par des petits trous qu'elle a fait dans une toile noire qui couvre les fenêtres de la galerie, la lumière vient créer sur un papier ciré à proximité des trous une séquence d'images inversées de la réalité extérieure environnante.

Sonia RobertsonSonia Robertson

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Sonia Robertson

Que reste-il ?, Installation et projection audio/vidéo, Espace F, septembre 2013

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Que reste-il ?

En faisant abstraction du choix de son emplacement, la camera obscura propose une image objective. S'il y a suffisamment de regardeurs conscients d'interpréter cette image selon les mêmes termes, cette interprétation peut alors revêtir une valeur objective au sein de ce groupe. C'est à ce type de consensus que réagit Sonia Roberston, et plus spécifiquement aux idées que les matanais se font de leur territoire. Dans cette installation in situ, l'image de cette Matanie qu'elle propose en est une fragmentée et déformée qui n'est pas celle d'un guide touristique ou celle des familles «fondatrices». Le titre donné est explicite et appuyé, entre autres, par la projection d'un très long fondu enchaîné qui voit un boisé se fondre dans une usine de pâte et papier. Sortant de haut-parleurs placés au sol, les réponses candides que font des matanais aux questions de l'artiste Innue sur la présence autochtone en Matanie illustrent leur ignorance du sujet. Juste au-dessus des enceintes et passant par des petits trous qu'elle a fait dans une toile noire qui couvre les fenêtres de la galerie, la lumière vient créer sur un papier ciré à proximité des trous une séquence d'images inversées de la réalité extérieure environnante.